Dans la poche de Gulliver

Les élèves de 5è3 et 5è7 se sont imaginés être des Lilliputiens.
Ils vous proposent d’identifier certains des objets trouvés dans la poche de Gulliver.

Dans la poche droite de l’Homme-Montagne se trouvait un ensemble de petits anneaux attachés entre eux pour constituer une sorte de corde en métal. Cette « corde » mesurait deux fois ma taille.
En analysant bien l’objet, mes amis et moi avons déduit que c’était de l’or.
Nous pensions que l’objet était simplement décoratif car l’Homme-Montagne en portait un identique au poignet.


Safa A.

Dans la poche droite du géant, nous avons trouvé un objet de forme rectangulaire et de la taille d’une porte.

Sur les côtés se trouvaient trois boutons assez gros pour faire des coussins. Un de mes camarades appuya sur un des boutons. L’objet se mit à s’allumer et à faire une lumière assez forte pour éclairer toute la salle. Au bout d’un moment, la porte qui ne s’ouvre pas ne fit plus de lumière.

Nous supposons que l’objet en question est une lumière à emporter.

Linah B.

Quand je suis entré dans la poche, j’y trouvai une arme argentée, à quatre dents bien aiguisées, en fer. Cet outil était comme un trident. Il pouvait être utilisé pour manger. Quand j’ai touché l’extrémité de l’objet, là où c’était pointu, je me suis fait un peu mal.

Nathan B.

L’Homme-Montagne prit un grand sac rose jusqu’alors rangé dans sa poche.

Il l’ouvrit et en sortit des boules de toutes les couleurs. Il en mit dans sa bouche et les avala.

Je réussis à toucher une de ces choses étranges. Elle était collante et sentait la fraise.

La fraise, ça se mange ! J’avais envie d’y goûter.

Alyssia B.

L’Homme-Montagne me prend, et me dépose dans une de ses poches où se trouve un objet lourd, de la taille d’un à deux Lilliputiens.
Cette chose fait un bruit épouvantable.

Quant à sa forme, elle est arrondie puis s’allonge pour faire comme deux lignes parallèles séparées de deux à trois pouces de Lilliputiens ; les traits se rassemblent ensuite pour dessiner plein de petites formes. La couleur est grisâtre et l’homme nous informe que ça lui sert à entrer chez lui.

A mon avis, notre chef l’utiliserait comme œuvre d’art et l’exposerait.


Lilou B.

L’Homme-Montagne me prit dans ses mains et me déposa dans une de ses poches.
Je vis un objet de forme ronde, d’une taille inimaginable, d’une couleur blanc neige.
Je me demandai ce que c’était. Je m’approchai de l’objet mystérieux et le touchai ; il était très doux.
L’empereur aimerait sûrement l’avoir comme tapis.

Jannat D.

Nous étions à la fois surpris et enthousiastes. Nous venions de découvrir un objet métallique de couleur argentée qui sortait de l’ordinaire.
Nous nous sommes tous réunis autour pour l’observer : l’objet était gigantesque, avec de grandes branches légèrement arrondies aux bouts et qui étaient reliées à deux ronds. Nous pouvions voir à travers mais l’image était floue ; c’était comme regarder par une vitre mal lavée.

Aylin D.

Nous fouillons l’Homme-Montagne et trouvons un objet gros et long. Il ressemble à un grand drap blanc comme empilé sur lui-même.
Entouré d’un plastique, l’objet paraît neuf. Il a l’air très confortable.
Bien que cet objet soit lourd, nous réussissons à le faire tomber de la poche du géant. Nous l’emmenons au royaume en le traînant par terre. Arrivé dans le palais, nous demandons à la couturière de découper le drap : elle pourra ainsi faire une tapisserie pour le château et des vêtements pour plusieurs d’entre nous.

Mohamed N.

Nous avons aussi trouvé un objet rectangulaire, noir, lisse et très intrigant.
Cet élément peut s´allumer quand on appuie sur un bouton. Il vibre aussi par moments. Avec nos petites mains, on peut faire bouger des sortes d’objets dans cette chose ; c´est fascinant.
Il pourrait nous servir de plateau de danse. Notre Empereur va être très content de regarder des spectacles de danse.

Heïdi P.

L’Homme-Montagne nous laisse le fouiller. Il nous prend dans sa main immense pour nous mettre dans sa poche.

Nous découvrons un grand tube blanc rempli d’une substance étrange et collante.

Nous restons collés dans la poche et crions pour que l’Homme-Montagne nous sauve. Une fois sortis, nous lui demandons de verser un peu de cette substance blanche sur le sol pour l’examiner.

Elle est finalement transparente et gluante. Elle s’étale et la poussière, les feuilles ou les petites miettes restent collées dessus.

Victor S.

Après une fouille minutieuse, nous n’avons trouvé qu’un objet, qui était quelque peu intrigant. Cet objet était une boule posée sur un support en terre cuite.

A l’intérieur de cette boule en verre remplie d’eau, se trouvait un paysage rappelant étrangement un endroit d’une région que l’Homme-Montagne connaissait sans doute : une montagne surplombée par un somptueux château, tous les deux réalisés en miniature.

Par mégarde, certains de nos officiers ont fait tomber l’objet, et nous avons observé des dizaines de particules blanches qui se mirent à s’agiter dans tous les sens. C’était comme si ce paysage, tout à coup, devenait hivernal et qu’on avait le pouvoir, d’un simple mouvement, de contrôler les saisons.

Amine S.

Je me retrouvai dans la main du géant et atterris dans sa poche.

J’étais entouré d’objets. Peut-être y avait-il même des animaux ? En tout cas, je n’étais pas seule dans cette poche.

J’essayai de me lever et vis qu’à côté de moi se trouvait une boite grande comme une maison.

Elle avait deux côtés de matière inconnue. J’ouvrai cette boîte et observai son contenu : elle regroupait plusieurs bouts de bois sans écorce.
A chacun des bouts de ces bois, pas de feuilles mais des balles rouges, de la même matière que les deux côtés de la boîte.

Maria Z.