La classe de 5e5 (le 19.06.25) :
Nous terminons cette merveilleuse année en étudiant, en cours de français, le livre Vendredi ou la vie sauvage de Michel Tournier.
Nous découvrons des métaphores originales dites par un personnage : Vendredi.
Elles représentent son environnement et il les communique à son maître , Robinson, sous la forme d’un portrait araucan, et avec passion.
Voici la nôtre :
« Je suis la mémoire d’un monde sans voix .
Mon corps fragile enferme des univers silencieux.
Entre mes lignes dort la pensée de ceux qui ne sont plus.
Je vieillis sans bouger , mais je vis à chaque fois qu’on me touche.
Je suis un cercueil de papier, mais aussi une naissance d’idées. »
Issrae Kharrazi et Limar Morea
Voici celle de Sean :
« Il est pour nous un chauffage.
C’est une lune mais seulement le jour.
C’est une lampe qui illumine la journée.
C’est une grande étoile.
C’est une boule de bowling lumineuse. »
Également, et pour finir ici, celle d’Alice et Arwa :
« Ce sont des griffes qui grattent le ciel.
C’est une fourmilière toujours active.
Ce sont de petits insectes jaunes au milieu de grandes herbes.
Ce sont mille phares qui brillent dans la nuit.
C’est une reine qui les domine. »
Avez-vous trouvé de quoi il s’agit ?